Les disparus en photos
Lorsque j'ai reçu un petit mot de Jean-Paul Rivage afin d'apporter une correction concernant son frère François, il me demandait également de rajouter les photos de Bertrand Lorsin et de Thierry Demanche dont il m'avait signalé le décès.
C'est avec plaisir que j'accède à sa demande et, de plus, je vais en profiter pour refaire cette page un peu mieux. Nos amis qui ne sont plus là le méritent bien.
Il me faudra un peu de temps pour tout réorganiser. En respectant l'ordre chronologique de leur disparition.
Je l'ai bien connu aux Castors. Je crois qu'il n'avait pas 20 ans. Un accident avec les fameuses mobylettes rouges de l'époque qui tapaient le 80!
La photo n'est pas très bonne car c'est un agrandissement d'une photo prise lors d'un match de handball contre les moniteurs de la colo de Brigoles.
Très apprécié, il a été exclusivement aux Castors. Derrière lui, à sa droite, Marc Fontaine.
Aux Hirondelles devant la tente verte. On en parle ici.
C'est le neveu de Roger (Jean-Pierre fils de Pierre Marini) qui m'a transmis les dates. Il m'a relaté comment Roger Marini, se trouvant à la colo comme chaque année, devait absolument se rendre à l'hôpital d'Avignon pour vérifier sa situation cardiaque. C'est là qu'il a eu la crise qui l'a emporté.
On peut aussi aller voir l'article sur René dans lequel on parle des circonstances de son décès brutal.
Sur la photo, il s'occupe du rangement des lits à la fin de la colo dans ce qui servait alors de garage. C'est-à-dire un endroit où on met de tout sauf un véhicule...
Frère de Roger (avec la clope au bec), c'est celui qui allume sa cigarette. A cette époque ça fumait dur, Gauloises ou Gitanes, avec ou sans filtre. On n'était pas très regardant pourvu que ça fasse de la boucane!
Un de ceux à qui la colo doit beaucoup. Hirondelles, chef de la Collégiale et directeur de la colo après Robert jusqu'au milieu des années 70. Un des piliers.
Tous les colons se rappellent de lui et de ses histoires. Mais surtout des choux à la crème qu'il offrait à tous. C'était 3 ou 400 choux qu'il aimait distribuer. On lui a consacré un petit article.
La photo a été prise dans le réfectoire extérieur.
On ne peut pas ne pas parler du Père Jacques lorsqu'on mentionne Baratier. Il a été le moteur principal de l'aventure de la colo. Il a droit, lui-aussi, à son article.
Il avait une fière allure avec son béret.
Tout un directeur! Tout le monde l'aimait... Complétait admirablement le Père Jacques avec qui il formait un couple discordant mais efficace.
Le voici aux Hirondelles devant la tente verte des chefs. Nous avons partagé tant de choses et d'aventures diverses, que j'en ai décrit plusieurs brièvement : Pâques 1964, après mai 68 et la nuit sorguaise.